KikouBlog de Le Lutin d'Ecouves - Octobre 2015
Le Lutin d'Ecouves

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Archives Octobre 2015

POWER TO THE (OLD) PEOPLE

Par Le Lutin d'Ecouves - 13-10-2015 18:47:49 - 1 commentaire

 

 

La Vétérane, un concept de course unique en France avec des vrais morceaux de saucisson dedans. Le récit ICI.

 

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L'ESPRIT FRANÇAIS 11

Par Le Lutin d'Ecouves - 12-10-2015 17:34:32 - 3 commentaires

Pancrace Royer
1705-1755


Pancrace Royer, né à Turin de parents d'origine bourguignonne, s'est établi à Paris à l'âge de vingt ans où il s'est vite fait connaître pour sa manière "savante et délicate" de jouer du clavecin et de l'orgue. Nommé Maître de musique à l'Académie royale cinq ans plus tard, il se vit ensuite confier l'éducation musicale des enfants royaux par Louis XV. Il fut ensuite nommé directeur du Concert Spirituel, institution installée aux Tuileries donnant de nombreux concerts publics qui fit beaucoup pour la diffusion de la musique française mais aussi européenne (Pergolesi, Vivaldi, Hasse, Geminiani...). Le petit nombre d’œuvres publiées par Royer (quelques opéras et autres pièces lyriques et un seul livre de clavecin) s'explique par le peu de temps dont disposait Royer pour la composition et la publication.
Ce sont justement ces pièces de clavecin qui retiennent l'attention car, si certaines font encore référence à l'esthétique française raffinée à la Couperin, d'autres sont pour le moins empreintes d'une liberté et d'une virtuosité toute italienne (la publication en 1740 des sonates de Scarlatti est passée par là...). 
 
Pour illustrer ce propos, voici "Le Vertigo", pièce alliant la grandeur de l'ouverture à la française à la folie italienne, ce que je qualifierai anachroniquement de "Furia Francese". 


 (Ref)
 
Pour en revenir à l'Esprit purement français avec ses paysages mentaux tendres et raffinés, je vous propose en bonus, "La Zaïde" pièce transcrite par Royer d'un air de son opéra éponyme.

 

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 Source principale : texte de Christophe Rousset
 

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RANDOS EN CHAMPSAUR ET VALGAUDEMAR

Par Le Lutin d'Ecouves - 06-10-2015 11:49:35 - 8 commentaires

 
Pour un Lutin de la forêt d'Ecouves, ce genre de paysage reste assez inhabituel... Si vous aimez les grands espaces et si l'absence de chênaies-hêtraies ne vous dérange pas, veuillez me suivre dans deux petites balades dans les Alpes.


Plateau de Charnière
 

En partant du village de Prapic (et non priapique), nous avons opté pour le sentier à droite du Drac noir qui nous fait grimper assez rapidement sur les alpages.
 
 Y'a du gaz, Mustang !

J'apprends par le Mustang un peu nerveux que l'animal le plus agressif du coin, ce n'est pas le loup mais bien le patou gardien de moutons qui n'hésite pas à bouffer un touriste de temps en temps.


Coup de bol, pas de troupeau dans le coin, nous allons pouvoir pique-niquer en hauteur face à un panorama grandiose...


... tout en observant les habitants du coin qui nous sifflent de temps en temps.

C'est pas poli de siffler les gens !



Arrivée au Saut du Laire dominé par le Mourre Froid (2993m) et retour par le chemin bas le long du Drac...


... non sans admirer une dernière fois les sommets entourant le plateau.



Lacs de Pétarel
 
 
On en profite du soleil aux Andrieux car dans cet endroit du Valgaudemar, il disparaît entre novembre et février durant cent jours car la vallée est très encaissée.


La montée à partir des Andrieux commence par une forêt de sapins au terrain caillouteux. Les pancartes annoncent 3h00 de montée et c'est au moins ce qu'il faut pour escalader cette pente très raide aux innombrables lacets. Je déconseille d'y emmener sa grand-mère ou alors de jeunes grand-mères comme ma Josette et Mme Mustang.


Si l'on ne voit pas grand chose dans cette sombre forêt, on peut cependant y admirer des nids de formica rufa de plus d'un mètre de haut.


Après bien des efforts, nous débouchons de la forêt. Nous serons dominés et suivis jusqu'au bout par l'imposante silhouette de l'Olan (3564m).


 La température devient fraîche et les places à l'ombre recèlent des plaques d'eau gelée malgré le grand soleil. Certains passages s'avèrent délicats mais tout à fait surmontables si l'on n'a pas le vertige car jusqu'au plateau des lacs, on continue de voir le fond de la vallée situé pratiquement mille mètres plus bas.
 
 Faut pas gisser, c't'un peu pentu...
 
 
 
Un premier petit lac puis c'est la merveille :
 
 
Nous sommes à plus de 2100m. Il est 14h00 et nous pique-niquons enfin dans ce cadre unique. 


Repos en Dévoluy

Après ces deux journées intenses de randonnée, nous avons franchi le col du Noyer...
 
 
... puis passé une journée de repos dans les alpages  plus accessibles du Dévoluy, admirant les vols des vautours au son tintinnabulant des cloches des brebis.
 
Lutin: "Hé, c'est où les toilettes ?
 
- C'est par là !"
 

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LE LUTIN FAIT LE CHAT AUX AIGUILLES

Par Le Lutin d'Ecouves - 01-10-2015 15:36:29 - Aucun commentaire

 

Ça change de la Normandie, hein ?

 


Si le dénivelé ne vous fait pas peur et si vous n'avez pas le vertige, vous pouvez lire le récit de la chasse au Namtar par le Lutin d'Ecouves ICI.




 

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