Dr George Murray Levick
1877-1956
George Murray Levick a fait partie de l'expédition en Antarctique de Scott entre 1910 et 1913. Contrairement à Scott et à quatre autres de ses camarades, George Murray Levick n'a pas fini en bâton de surimi surgelé mais il a dû passer l'hiver antarctique sur place avant qu'un bateau ne vienne chercher les survivants de l’expédition réfugiés dans une grotte.
S'ennuyant ferme, ce respectable scientifique, chirurgien de formation, se mit à étudier le comportement des manchots Adélie, espèce qui pullule en Antarctique.
Une fois rentré en Angleterre, George Murray Levick rapporta un carnet d'observations dont une partie était rédigée en grec ancien ... mystère !
Ce carnet, déposé au Museum d'Histoire Naturelle de Londres, a été retrouvé récemment par le conservateur Douglas Russell qui a bien vite compris pourquoi certains passages étaient allés se faire voir en grec...
En effet, George Murray Levick, choqué par le comportement de ces hooligans de manchots ne voulait pas que ses notes tombassent inopportunément sous le regard outré des membres de la bonne société anglaise. Voilà pourquoi certains passages étaient, en quelque sorte, cryptés.
L'affaire, révélée par le Guardian fait grand bruit, dans le milieu des amoureux des manchots et l'on songe à réserver le film "La marche de l'Empereur" aux plus de 18 ans et même d'interdire le long métrage d'animation "Happy Feet" pour incitation à la pédophilie.
Et il y a de quoi ; voici ce que G.M. Levick avait noté en grec (texte malhonnêtement détourné par le Lutin d'après de véritables observations) :
"Oh my God, alors que j'allais aux toilettes à l'extérieur pendant une éclaircie, j'ai clairement vu deux manchots mâles pratiquer le vice spartiate. Moi qui pensais que seuls les Français et les Grecs s'adonnaient à cet horrible comportement !"
"Je n'étais pas au bout de mes surprises... quelques temps après, alors que je scrutais l'horizon à la recherche d'un éventuel bateau venant nous sauver, je fus intrigué par le comportement de bandes de jeunes hooligans manchots, déjà repérés pour leurs pratiques auto-érotiques, qui se précipitaient sur des femelles et leurs petits, isolant les poussins pour ensuite les brutaliser et les obliger à sombrer dans le vice le plus extrême comme on peut le voir dans les écoles papistes que notre bien-aimé roi serait fort inspiré d'interdire."
"Non seulement, les poussins étaient amenés à pratiquer des actes contre nature mais en plus, ils étaient souvent molestés et parfois tués"
"Le comble de l'horreur n'était pas atteint ! Je me suis aperçu après quelques jours d'observations attentives que certains manchots pratiquaient la nécrophilie, s’accouplant sans vergogne avec des cadavres des deux sexes dont certains étaient décédés depuis la saison précédente"
Vous avez compris, de peur d'être mis au ban de la bonne société londonienne, le brave docteur ne fit que peu de publicité sur les mœurs de ces dépravés antarctiques dont on tut la sexualité jusqu'à aujourd'hui.
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En complément, le Lutin vous livre, en toute mauvaise foi, deux témoignages inédits sur ces oiseaux décidément sans tabous :
Figurez-vous que même l’exhibitionnisme existe chez cet animal ; cela dit, les oiseaux se livrant à ce type d'actes seraient relativement peu dangereux pour leurs congénères.
Et, pour terminer, pour prouver que les mâles ne sont pas les seuls de cette espèce à pratiquer la pédophilie, voici une photo d'une femelle se donnant du plaisir avec un œuf (éloignez les enfants SVP) :